Exposition : Chorégraphie Sportive Allegretto, CPIF hors-les-murs

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Exposition : Chorégraphie Sportive Allegretto, CPIF hors-les-murs Dossier de presse : Chorégraphies Sportives Allegretto Série : Allegretto, 2024-2025 Du 06 février au 11 avril 2025, le CPIF présente une expostion personnelle de Denis Darzacq aux Passerelles, scène de Paris – Vallée de la Marne, dans le cadre de sa programmation hors-les-murs. Denis Darzacq présente ses dernières recherches : des assemblages numériques de fragments de corps en mouvement. Il compose ainsi des ensembles qui, bien qu’abstraits, cherchent néanmoins à suggérer le mouvement. Dans le cadre de l’exposition, ces nouvelles propositions entrent en dialogue avec les images issues de son projet de résidence Chorégraphie sportive. L’artiste a rencontré des sportifs et sportives de Pontault-Combault pour leur proposer de réaliser ensemble des mises en scène pour la photographie. Sans équipement ni accessoire sportif, loin des lieux d’entraînement et de compétition, les participant·es ont rejoué sur le territoire de la ville les gestes propres à leur discipline. Iels ont ainsi exécuté des chorégraphies inattendues et nouvelles, propres à révéler le mouvement des gestes et du jeu collectif. Le geste décontextualisé nous invite à découvrir des formes corporelles mystérieuses, dans des photographies réalisées sans trucage ni montage. Les corps, dans l’acmé d’un mouvement, révèlent un nouveau langage qui sublime le geste sportif. La gestuelle sportive s’entremêle avec celle de l’artiste : cadrage, découpage, collage, agencement des formes colorées déplacent l’image aux limites de l’abstraction, dans la lignée des séries récentes de l’artiste. Ses œuvres ouvrent ainsi sur une recherche plastique autour de la couleur, de la ligne et de la forme, à rebours de l’assignation de l’image photographique à sa fonction informative ou réprésentative. L’exposition Chorégraphie sportive allegretto a été réalisée en partenariat avec les Passerelles, scène de Paris – Vallée de la Marne, la Ville de Pontault-Combault, la région Île-de-France dans le cadre de l’Olympiade Culturelle et la DRAC Île-de-France ) ministère de la Culture dans le cadre du programme de résidences Caspule. Texte du CPIF, Centre Photographique d’Île-de-France

Exposition : En Pleine Lumière, Carreau du Temple, Paris

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Exposition : En Pleine Lumière En pleine lumière présente une sélection d’œuvres photo- graphiques et vidéos de l’artiste français Denis Darzacq, dont le travail a remporté de nombreux prix, notamment le World Press Photo en 2007 et le Prix Niepce en 2012. Sur les vitres de la Halle, sont présentées des photographies issues de quatre séries: La Chute (2006), Act 1 (2009-2011), Hyper (2010) et Reconstruire – MC93 (2022), sans hiérarchie ni distinction. Toutes ont comme dénominateur commun d’être des représentations de corps en action, en perpétuel mouvement. Dans une recherche d’équilibre, véritable métaphore politique, le corps des modèles vient prendre position dans le cadre et illustre des individus qui cherchent à s’émanciper des contraintes et lutter contre la résignation d’une place assignée. Ces photographies sont construites sur des réalités paradoxales que Denis Darzacq s’emploie à faire dialoguer. Pour compléter le parcours photographique, l’installation vidéo RISE (2019), tournée à Guangzhou en Chine, poursuit les mêmes interrogations. Quatre danseurs chinois, tels des Sisyphes modernes, ne cessent de tomber et de se relever dans l’espace public, en un mouvement perpétuel qui n’a ni début ni fin. En quelques trente ans de travail photographique, les questionnements de Denis Darzacq ont évolué et ont pris des formes différentes mais à chaque fois, le questionnement reste le même : comment faire corps avec les autres et trouver se place dans la société ? “En pleine lumière” copie IMG_6058 IMG_6056 IMG_6055 IMG_6057 IMG_6010

Exposition : Ouvrir les yeux, les collections photographiques des Abattoirs et de la Galerie Le Château d’Eau

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Exposition : Ouvrir les yeux les collections photographiques des Abattoirs et de la Galerie Le Château d’Eau Du 11 octobre 2024 au 18 mai 2025 dossier de presse Pour la première fois les Abattoirs, Musée – Frac Occitanie Toulouse et la Galerie Le Château d’Eau offrent aux publics un voyage au sein d’un riche patrimoine photographique encore peu connu. L’exposition présente une large sélection d’œuvres photographiques des collections des deux établissements publics qui toutes deux témoignent des grandes périodes de l’histoire de la photographie et de ses artistes depuis le début du vingtième siècle tout en faisant émerger deux histoires de collections.

Exposition : La France sous leurs yeux, Bibliothèque Nationale de France

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact La France sous leurs yeuxLa Grande commande pour le photojournalisme 19 mar. 2024 – 23 juin. 2024 La Bibliothèque nationale de France Denis Darzacq Ariège / Occitanie Communautés et collectifs alternatifs en Ariège Dans les communautés néo-rurales des vallées de l’Ariège, s’est développée une violente opposition à la politique sanitaire de l’Etat, ce qui fait de ce département l’un des moins vaccinés de France. Assistons-nous à une nouvelle alliance inédite d’une pensée alternative, d’une écologie radicale et d’un rejet de la science? Il s’agira de mener une enquête photographique sur ces collectifs, porteurs de projets alternatifs aux prises avec les contradictions de notre monde. Le collectif de Bregat en pleine production de jus de pomme. Un jeune garçon apporte une valise à ses parents.

Exposition : Resilientes, centre d’art contemporain, Canaries, Espagne

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Exposition : ResilientesCentre d’art contemporain de Canarias, EspagneDu 10 novembre 2023 au 5 janvier 2024 As adaptation to adverse situations and the capacity of bodies to return to their initial state after a state of disturbance or subjugation, the call for Resilience could be understood within a flexible capitalism eager for bodies at full capacity. The multitasking logic of today’s work brings us closer and closer to the figure of the acrobat who defies gravity in their ability to adapt to any position, however impossible it may be. Photography has been particularly attentive to these new bodily registers, especially through the expression of the flexibility commonly associated with the female body, as in many of the works that shown in this exhibition, selected by an open call for entries for the 17 th Tenerife Photo Biennial Fotonoviembre 2023. But photography is also a relevant field to address this question if we consider that photography professionals are very often compelled to combine their artistic work with jobs in other sectors of photography, as is the case of the audiovisual industry, currently booming in the Canary Islands. “It is fortuitous that photographer Denis Darzacq has developed a whole line of works on levitating bodies that represent consumers at supermarkets or shopping centers, since capitalism is configured on the paradigm of volatility, as Marx summed up fabulously in the watchworld “All that is solid melts into air”. However, it might have been post-Fordism and the current immaterial culture that have taken the idea of volatility to its very extreme, since market and financial values are more than ever volatile assets, just as worker’s contracts , migrants’ rights, town planning, fashion, and even emotional relations. Similarly, Denis Darzacq has recently made a whole series of photographs, videos or “photographic objects” through which he goes over some kind of disjointed, twisted and overlapped corporeality, as in the case of La Frise (2022), that we find in this exhibition.

Exposition : Conversation formelle, Galerie Arenthon, Paris

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Exposition : Conversation formelle du 2 novembre au 2 décembre 2023 3 quai Malaquais, 75006 Paris Galerie Arenthon Catalogue de l’exposition réalisé par Sophie-Anne Delhomme Comme chaque année, à l’occasion de PhotoSaintGermain, la Galerie Arenthon a souhaité, inviter un photographe à parcourir son fond de gravure et lithographies modernes, pour créer un dialogue entre les estampes des grands artistes du début du 20ème siècle et les œuvres d’un photographe contemporain. Cette année, c’est Denis Darzacq qui se prête au jeu de la conversation. les œuvres d’artistes tels que Picabia, Léger ou Le Corbusier ont profondément marqué sa formation et l’habitent encore aujourd’hui. Cette influence s’est révélée formellement à Darzacq, en parcourant les œuvres de la Galerie Arenthon. De façon surprenante les formes et les couleurs de sa nouvelle série d’assemblages photographiques appelée My own Private Avatars, présentée pour la première fois à cette occasion, répondent naturellement aux œuvres des grands artistes modernes. Il en est de même pour ses séries Doublemix, mêlant photographie et céramique, créés en collaboration avec l’artiste Anna Iris Lüneman.

Epreuves de la Matière, Bibliothèque François-Mitterrand

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Épreuves de la MatièreLa photographie contemporaine et ses métamorphoses Exposition du 10 oct. 2023 au 4 fév. 2024 Bibliothèque François-Mitterrand, Galerie 1 Traversé par de multiples explorations plastiques, le questionnement autour de la matière irrigue tous les champs de la photographie, du processus créatif à la présentation des images. Prenant appui sur la riche collection de photographies contemporaines de la BnF, l’exposition révèle les capacités de métamorphose de la matière photographique mais aussi sa possible disparition. À travers les œuvres singulières de près de deux cents photographes français et étrangers se dévoile une histoire sensible et incarnée de la photographie. « L’image hybride, la matière métamorphosée » met en exergue des pratiques où la photographie s’hybride avec d’autres expressions artistiques ou alors parvient par ses ressources propres à suggérer des effets de matière picturale, graphique ou sculpturale.

Ball room, Sérial Galerie

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Ball room, Sérial Galerie 1 Passage de l’Asile, 75011 Paris Octobre 2023 “C’est le bal au passage de l’Asile. Les insolentes, insouciantes et flegmatiques figures de la série Absences valsent avec les corpulentes, rassurantes et compactes Contreformes. Figures monumentales et sculpturales les quatre vigies sombres dialoguent au rythme d’un Ballroom multicolore avec les lumineux collages photographiques de la série Absences. Une abstraction narrative qui se déploie dans l’espace imposé par le cadre et rencontrent les silhouettes massives et rassurantes des géants de la série Contreformes. Dans la vidéo BALLROOM bouteilles et ballons se heurtent sans répit, ni raison. Pris au piège dans les remous, le mouvement perpétuel frénétique les entraîne en tourbillon dans un bal sans fin. Denis Darzacq réussit un tour de force, en transformant son travail abstrait exigeant, soigné et précis en une série de figures sculpturales anthropomorphes qui parlent au son de ce lointain Ballroom à notre imagination.” Sophie Costamagna

Festival Photoclimat – Église Saint-Merry, Paris

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Festival Photoclimat – Église Saint-Merry, Paris Exposition de photographies de la série Act sur les vitres extérieurs de l’église Du 14 septembre au 15 octobre 2023

Exposition : Arch of Hysteria, Museum der Moderne Salzburg, Autriche

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Exposition : Arch of HysteriaBetween Madness and EcstasyMuseum der Moderne Salzburg, AutricheJusqu’au 14 janvier 2024. Publication Du Magazine No. 923 | Octobre 2023 Ekstase Wege zur Entgrenzung http://www.du-magazin.com/kiosk/

Exposition : le langage du corps à la FAB, Paris

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Le langage du corpsLa nouvelle exposition de la Fab. s’installe à partir du vendredi 9 juin 2023.dossier de presse Cette exposition explore la collection agnès b. et réunit les œuvres qui montrent le corps qui parle.  Au travers de dessins, peintures, sculptures, photographies, films et vidéos liés à la thématique du langage du corps; l’exposition observe le corps social, les fonctions, les gestes, les comportements qui le révèlent, l’ordre et la poésie qui en résulte, la douceur, la beauté et parfois la violence des corps à corps, mais aussi la représentation du corps dans l’espace, qu’il s’agisse de la nature, la ville ou un lieu clos. Le langage du corps s’exprime à travers les œuvres d’une soixantaine d’artistes de Peter Hujar à Tracey Emin, en passant par Larry Clark, Malick Sidibé ou encore Niki de Saint Phalle. Le vernissage aura lieu à la Fab. ce jeudi soir, de 18h à 21h. — Le langage du corps, du 9 juin au 22 octobre 2023.La Fab. – Place Jean-Michel Basquiat – Paris 13eMercredi – samedi 11:00 – 19:00 / dimanche 14:00 – 19:00

Le Mois de la culture française à Cuba 2022

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Le Mois de la culture française à Cuba À l’occasion de la 6ème édition du Mois de la culture française à Cuba programmée du 3 au 26 mai 2022, les havanais auront l’occasion de découvrir l’exposition “ACT” de Denis Darzacq présentée à la galerie de l’Alliance Française de La Havane. #Act 1#Act 2#La visite du Louvre

Bobigny 2 – MC93 2022

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact BOBIGNY 2 – Reconstruction Une exposition de Denis Darzacq À la gare routière de Bobigny et dans l’espace public du 30 mars au 13 avril et à la MC93 jusqu’au 22 mai 2022. Série photographique réalisée au sein du chantier de déconstruction du centre commercial BOBIGNY 2 en décembre 2020, avec les élèves de la Prépa’ Théâtre 93, des membres du Conseil des jeunes et de l’Atelier des anciens de la MC93. Vernissage le mercredi 30 mars à 18h30 à la gare routière de Bobigny. En décembre 2020, suite à l’annonce du deuxième confinement, la Maison de la Culture de Seine-Saint-Denis est dans l’obligation de fermer à nouveau ses portes pour une durée alors indéterminée. Si le théâtre ne peut plus accueillir de public, il peut néanmoins continuer d’accompagner les artistes dans leur travail de création. C’est l’occasion pour la MC93 de réinventer son action sur le territoire et de solliciter le photographe Denis Darzacq avec l’envie de documenter la transformation du « cœur de ville » de Bobigny en pleine mutation. Le chantier de déconstruction du centre commercial BOBIGNY 2 vient effectivement de démarrer, le symbole de la fin d’une période pour toute une génération d’habitants qui, lorsqu’ils étaient jeunes, avaient élu domicile la journée dans ce lieu pour se rencontrer et se regrouper. Denis Darzacq avait déjà travaillé près de 20 ans auparavant à Bobigny. Dans un ouvrage intitulé Bobigny Centre-ville, accompagné de l’autrice Marie Desplechin, le photographe était allé à la rencontre des jeunes balbyniens et balbyniennes, de leurs destins, de leurs amitiés, de leurs utopies, pour interroger leur relation à la ville, à son urbanisme, et à la mémoire des lieux. Deux décennies plus tard, il revient sur ses pas avec la série BOBIGNY 2 – Reconstruction, et fait du centre commercial en déconstruction le théâtre des mutations de la vie de la jeunesse, de ses interactions, de ses espoirs et de ses épreuves en temps de pandémie. En demandant à une vingtaine de jeunes qui fréquentent la MC93 d’investir le chantier par leurs gestes et leurs corps et d’imaginer tous les modes de relation qu’ils pourraient avoir les uns avec les autres, Denis Darzacq met à jour un nouveau vocabulaire corporel. Celui des liens sociaux que la jeunesse tente d’imaginer pour l’avenir. Chaque photographie est un état de la jeunesse à mi-chemin entre un monde en déconstruction et un futur qu’elle aura la charge de reconstruire. Matthias Tronqual, commissaire de l’exposition L’exposition BOBIGNY 2 – Reconstruction a été conçue par la MC93, en partenariat avec la Ville de Bobigny, l’agence territoriale Seine-Saint-Denis de la RATP et Picto. Entretien avec Denis Darzacq BOBIGNY 2 – RECONSTRUCTION ENTRETIEN AVEC DENIS DARZACQ AUTOUR DE L’EXPOSITION Propos recueillis par Matthias Tronqual en février 2022. Crédit photos © Denis Darzacq La jeunesse est souvent au centre de vos images. D’où provient cette envie de la photographier ? Je suis parti en 2003 à Alger photographier deux chorégraphes d’origine algérienne (Mourad Merzouki et Kader Attou) qui venaient répéter leurs spectacles avec des jeunes algérois qui pratiquaient le hip hop. Le pays sortait d’une guerre civile et je découvrais alors ces jeunes qui, par leur pratique de la danse, manifestaient leur résistance face aux groupes islamistes. Ils avaient gagné par ailleurs leurs visas pour aller en France, et démontraient que la danse pouvait être un moyen de se créer un avenir, quand leur famille les incitait à faire des études. J’ai compris à ce moment-là que la meilleure façon de les photographier, n’était pas de faire leur portrait. Il me fallait plutôt photographier leurs mouvements pour saisir leur personnalité. Trouver l’équilibre de ces corps dans le cadre photographique était sans doute la meilleure façon, ou pour le moins, une métaphore extrêmement claire pour montrer comment ces jeunes trouvaient leur place au sein de la société. En 2005, en France, des émeutes éclatent dans les banlieues, suite au décès de Bouna Traore et Zyed Benna à Clichy-sous-Bois. Les médias répétaient à longueur de journée que la jeunesse française ne savait pas s’exprimer politiquement, qu’elle n’avait pas également le sens du travail ni de la discipline. Je venais de commencer un an plus tôt un travail photographique à Bobigny et me rendais compte du contraire. La jeunesse n’aspirait qu’à une chose, celle de participer à la marche des choses et elle avait d’ailleurs développé son propre langage par le corps et le mouvement et manifestait par cela une incroyable volonté. L’envie de photographier cette jeunesse est donc passée par la nécessité de photographier ses gestes, son éloquence corporelle, son aisance à s’approprier l’espace. Revenir photographier la jeunesse d’aujourd’hui à Bobigny dans le centre commercial en déconstruction prend dans ce contexte, un sens tout particulier… Tout à fait, d’autant plus que lorsque je faisais les photographies, il y a 17 ans à Bobigny, le seul point de rendez-vous chauffé à l’abri, était le centre commercial, c’était le seul espace de socialisation. Je me souviens de la phrase que tu m’avais dite : « Sorti de ce covid, comment va-t-on faire pour reconstruire le lien social ? ». La métaphore de la déconstruction du centre commercial, symbole de lieu de rencontre pour la jeunesse, est devenue, avec cette nouvelle série photographique, un cadre parfait pour parler de ce qui nous arrive aujourd’hui avec cette pandémie. Comment regardes-tu ce projet un an après sa réalisation, au moment où l’on s’apprête à l’exposer ? Cette série a été réalisé en décembre 2020. J’en garde un très bon souvenir. J’ai beaucoup aimé la façon de mélanger les corps de personnes qui ont pour certaines l’habitude de la représentation (les élèves de la Prépa’ Théâtre 93 et les membres de l’Atelier des anciens) avec celles qui fréquentent régulièrement la MC93 au sein du Conseil des Jeunes et qui s’intéressent à la façon dont on peut réinventer la médiation et la démocratisation culturelle. Ce mélange de corps attendus, d’une jeunesse dont le métier consiste à maitriser l’expression et d’autres qui ont des corps qui ne sont que très peu représentés dans les médias, me semble très

La proie pour l’ombre, Galerie RX, 2021

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Pour son troisième solo show à la galerie RX, Denis Darzacq approfondit sa recherche qu’il a initiée il y a une dizaine d’années et qui, de prime abord, semble relever de la photographie abstraite. Il y présente plusieurs séries: Contreformes, Absences, Recompositions, Photos mobiles qu’il met en regard avec quelques photos issues de projets antérieurs (Act 2 et Hyper). Si la photographie est un travail avec la lumière, Denis Darzacq explore un espace où se conjuguent mouvement, volume et matière, d’où sa tentation de la sculpture à laquelle il a cédée logiquement, à découvrir à travers les séries Ondes et Feuilles.

Nourrir le corps, nourrit l’esprit, CAC Meymac

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Intention du commissaire d’exposition : Jean-Paul Blanchet L’une des caractéristiques de l’homme est de transformer l’acte de se nourrir en un moment vital mais risqué, un moment de plaisir. Celui d’abord de manger à satiété, d’étancher sa fringale. Selon les circonstances, ce temps est parfois solitaire mais il est le plus souvent collectif. Le groupe (restreint ou élargi) s’y retrouve dans l’émotion du partage, le besoin d’être ensemble. « Fait social total » écrit Marcel Mauss, il rassemble le groupe et participe à la distinction du mangeur selon son comportement (le coup de fourchette, l’appétit, signes de tempéraments). Ce temps fort de la vie collective est le produit d’une chaine de coopérations, depuis la collecte de la nourriture en amont, la préparation des aliments selon des processus segmentés jusqu’à sa mise à la disposition des convives. Paul Gauguin parlant de ce temps de partage, écrivait : « Cuisiner suppose une tête légère, un esprit généreux et un coeur large ». Un proverbe précise « La table est l’entremetteuse de l’amitié ». Il débouche sur une mise en scène des victuailles où la famille se retrouve apaisée. « Après un bon diner, on n’en veut plus à personne, même à sa propre famille » écrit Oscar Wilde. L’acte de se nourrir ne se réduit donc pas au simple fait de manger. Sa nécessité a construit peu à peu le foyer civilisationnel où s’élaborent les goûts et les pratiques qui solidarisent le groupe et l’ouvrent à d’autres. « À celui qui frappe à la porte, on ne demande pas : qui es-tu ? On lui dit assieds-toi et dîne » recommande un proverbe sibérien ; ce qui correspond chez nous à « garder la part du pauvre ». Le corps recharge ses batteries vidées par l’effort comme le réservoir d’une voiture fait le plein d’essence après un long parcours. La mastication produit une détente du corps et de l’esprit, dégage sucs, effluves et autres sensations sensorielles de texture. Le corps les enregistre comme autant de signaux positifs, complémentés par des impressions visuelles de formes et de couleurs. L’ensemble de ces ressentis induit un plaisir complexe et renouvelable, qui satisfait aux besoins immédiats du corps, mais aussi de l’esprit dont la stratégie en amont se trouve doublement récompensée. Claude Levy Strauss écrit : « Il ne suffit pas qu’un aliment soit bon, encore faut-il qu’il soit bon à penser ». Ces instants cruciaux autour de la nourriture sont au cœur du processus de civilisation dont ils constituent un des fondements. Ils débouchent in fine sur le dépassement de la fête et/ou sur l’exhibition ostentatoire. Même si la complexité de l’alimentation humaine est aujourd’hui visée par les polémiques sur le gaspillage et ses effets sur l’environnement, la symbolique des aliments participe à la construction des identités individuelles et collectives. Dans un monde qui a faim ou qui est rassasié, la nourriture reste un espace de projection sur lequel l’imagination brode.Plusieurs de ces niveaux se retrouvent dans l’exposition, moins sur un plan critique assez peu abordé par les artistes (distribution de masse, production industrielle), que sous des formes allégoriques et des débordements créatifs humoristiques ou ironiques, qui s’appuient implicitement sur l’impression d’abondance. Ils développent des univers comestibles à la Dame Tartine : paradisiaques ou esthétiques, jouant sur le rapport paradoxal entre le raffinement de la forme, des textures, des couleurs et la fragilité intrinsèque du support, célébrant la table et la fête. La nourriture devient un champ créatif qui s’élargit au domaine de l’art.Giuseppe Arcimboldo faisait le portrait des édiles de son époque à l’aide de fruits et de légumes. Les artistes aujourd’hui questionnent la nourriture et ses rites pour portraiturer notre société hyper consommatrice, y compris dans ses ambitions esthétiques. LES ARTISTES Avec les oeuvres de : Pilar Albarracìn, Aranthell, Damien Berthier, Liu Bolin, Louise Bossut, Nicolas Boulard, Mireille Blanc, Thomas Broomé, Patrice Carré, Jeanne Chopy & Robin Tornambe, Claude Closky, Clément Collet-Billon, Claire Dantzer, Denis Darzacq, Arnaud Dezoteux, Sandra Foltz, Ana González Sola, Elsa Guillaume, Joseph Grigely, Marie Hamel, Hesse Romier, Clémence Joly, Jan Kopp, Enora Lalet, Joachim Lapôtre, Marc Lathuillière, Thomas Lévy-Lasne , Pablo Lobato, Charlie Malgat, Aurélie Mathigot, Chloé Mazlo & Bérengère Henin, Mathieu Mercier, Yao Metsoko, Lucy + Jorge Orta, Pôle-Fromage, Babeth Rambault, Olivier Richon, Gregg Segal Photography, Fabien Souche, Stéphane Soulié, Jeanne Susplugas. PetitJournal_C1_2021

Exposition personnelle, Centre d’art contemporain de la Matmut, 2020

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact L’exposition au Centre d’art contemporain de la Matmut présente une sélection extraite des séries : La Chute, Hyper, Ac, Act II, Recomposition et Absences. Catalogue de l’exposition, Denis Darzacq, 24 x 30 cm, 152 pages, environ 80 reproductions, broché. ISBN : 978-2-84314-020-4 Ouvrage coédité avec le Centre d’art contemporain de la Matmut. Avec les textes de Françoise Docquiert et Étienne Bernard. Graphisme : L’Atelier d’édition. Editions Loco.

Invisible wounds : Landscape and memory in photography

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact When traumatic events like conflict or destruction occur in our fields, streets and cities, the memory of them remains long after the visible traces have gone. Curated in partnership with Amanda Crawley Jackson from the University of Sheffield, Invisible Wounds shows how artists represent the echoes of these devastating acts that continue to haunt the landscapes in which they took place. These evocative, arresting photographs blur the boundaries between documentary and the work of the imagination to explore how the past lingers in the present. Invisible Wounds features work by Denis Darzacq, Chloe Dewe Mathews, David Farrell, Roberto Frankenberg, Elisa Larvego, James Morris, Simon Norfolk and Zineb Sedira. #Comme Un Seul Homme

Prey for the shadows, Lianzhou Museum of photography, Chine

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Texte de François Cheval pour le catalogue de l’exposition “Prey for the shadows”. Musée de Lianzhou en Chine, 2019. Between photography and abstraction, we can’t tell which one distrusts the others. Photography thinks it represents reality in the raw while abstraction project itself beyond the real. This false opposition was proven to be wrong by the avant-garde movement of the thirties. The big “film und foto” exhibition that took place in Stuttgart in 1929 inaugurated a form of photography that was free of naturalism. The only option open to the “new photographer” with this innovative medium was experimentation. The world was no longer represented through an inventory, but through perception. Denis Darzacq’s work in in line with this tradition in the way he takes everyday materials of no great importance and brings them together to create emotional, ageless objects with multiple references. Photography inject life, fueled by its energy. The initial appropriation of elements from everyday life is based on chance. The nothing becomes the object-object, a graphic reappraisal of an ephemeral construction as the only reality turns out to be photographic. This way of making a remarkable object from nothing is a constant in the work of Denis Darzacq. The innocuous becomes a work of art, thanks not to a simple decision, but to the material’s intrinsic qualities. In his “choreographed” videos, it is essential not to establish a scale by which “professional dancers” are compared to “amateur dancers”. While what the amateurs present is nothing exceptional, they do retain an essence of simple humanity that the professionals often tend to leave behind. In a situation where it is impossible to tell improvisation from work, they open up to one another to affirm a powerful collective presence that plays ironically with the science of gravity. We cannot suspect Denis Darzacq of formalism, his work is on the contrary, the very expression of the living; accomplished forms shot through with a rare creative power.

Stance & Fall, a wavering world

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Stance & Fall, a wavering world, exposition à Marta Herford Museum, Allemagne, 29/06/2019-06/10/2019. “Mind your stance!” — In a world that appears to be unravelling, this advice is more topical than ever. In the quest for orientation, a firm position can mean rescue—but it can also mean danger. The greater the tension, the greater the danger of stumbling and at some stage losing control. Stance and fall are very close to each other. Between political tension and poetic dissolution, the artists play with this contradiction in terms. They develop impressive pictures of the rearing up and falling down of the body, of dancing and stumbling between the positions. The works focus in particular on the dissolution of established movement patterns, the fascination with overcoming physical limitations and the play with flexibility.#Sisyphe#La Chute

Le French May, Hong Kong

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact French May 2019, une invitation au voyage. C’est le thème retenu pour cette 27ème édition du festival culturel français de Hong-Kong. Une invitation au voyage à travers l’univers de la danse, de la musique, de la photographie, du design ou encore du théâtre. L’occasion pour tous de se laisser, durant les mois de mai et de juin, transporter dans le temps et l’espace, de l’Est à l’Ouest, pour un séjour culturel unique. Par Catya Martin.#Absences

Festival Croisement, exposition à Wuhan, Chine

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Festival Croisements, avril 2019 Pour sa 14e édition, le festival Croisements investit 35 villes en Chine avec un programme toujours à la pointe de l’originalité. Le festival célèbrera une nouvelle fois les rencontres artistiques entre la France et la Chine, dans toutes les disciplines, à toutes les époques.#La Chute

Nous sommes contemporains, Ar[T]senal

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Nous sommes contemporains, L’ar[T]senal, Dreux, France du 08/31/19 au 03/01/20 Autant que nous lisons, écoutons, voyons les événements heureux et catastrophiques de notre temps, la création contemporaine, tout comme nous, emmagasine ces faits sociaux : les médias, l’addiction aux nouveaux media, la consommation, la politique, la question du genre, la religion, l’environnement, le développement durable etc. et s’en inspire pour créer leurs œuvres. Nous sommes contemporains, parle de nous, de notre société et de nos préoccupations, il sera donc aisé de se l’approprier car elle utilisera les mêmes codes de compréhensions propres à chacun d’entre nous, humanité du XXIe siècle.#La Chute

Festival C’est comme ça!

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Festival C’est comme ça! L’échangeur CDCN, Château-Thierry, Hauts-de-France. /// EDITION 2018 /// Denis Darzacq, installation vidéo du 15/09 au 13/10, Le Silo U1 – Château-Thierry. EN FAISANT ÉMERGER L’HARMONIE D’UN APPARENT CHAOS, EN FAISANT CONCORDER LES GESTES DE HUIT DANSEUR•SE•S, L’INSTALLATION VIDÉO DE DENIS DARZACQ POINTE LA SIMILITUDE DANS NOS DIFFÉRENCES. UNE EXPÉRIENCE SENSIBLE QUI PREND LA MESURE DU POUVOIR DE VIVRE ENSEMBLE. UNE “AVANT-PREMIÈRE” SPÉCIALEMENT À CHÂTEAU-THIERRY AVANT UNE CRÉATION COURANT 2019.#La ronde Installation vidéo de Denis DarzacqCollaboration artistique : Thierry Thieû NiangDistribution : Florian Caron, Fanny Jouffroy, Antoine Moulin, Ulrich Mimboe, Anne Sermot, Farid Dridi, Mickaël Phelippeau, Carole PerdereauImage : Benoit PainSon : Pierre Bompy, Arnaud MartenMontage : Valentin MilouDirecteur de production : Martin Bertier

Biarritz 1918 & 2018

Denis Darzacq Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Du 7 juillet au 30 septembre à l’Espace  Le Bellevue – Place Bellevue : Expo Biarritz, 1918 & 2018 L’été 1918, Picasso et sa femme Olga, danseuse des Ballets russes, séjournent à Biarritz à l’occasion de leur voyage de noces, suite à l’invitation de Madame Errazuriz, aristocrate d’origine chilienne, qui deviendra mécène et grande amie de l’artiste. Ils résident dans la villa La Mimoseraie louée à cette occasion, afin que Picasso trouve là un lieu calme et propice à la création. Lors de ce séjour, il peint Les Baigneuses, réalise les Fresques de La Mimoseraie, plusieurs peintures et dessins. Il correspond avec Guillaume Apollinaire et Max Jacob. Gabrielle Chanel a ouvert sa maison de couture en 1915 et entraîne à Biarritz ses amis : Serge de Diaghilev, Misia Sert… Pablo PICASSO, Guillaume APOLLINAIRE, Gabrielle CHANEL, Jean COCTEAU & Daniel BUREN, Nina CHILDRESS, Delphine COINDET, Pascal CONVERT, Denis DARZACQ, Marc DESGRANDCHAMPS, Hervé DI ROSA, Gloria FRIEDMANN, GROUT/MAZÉAS, Fabrice HYBER, Bertrand LAVIER, Annette MESSAGER, Éric POITEVIN, Julien PRÉVIEUX, Barthélémy TOGUO, Carmelo ZAGARI.Commissaire de l’exposition : Didier Arnaudet. Scénographe : Sylvain Roca.#Act 1, Act 2

LA PLACE DE LA DANSE CENTRE DE DÉVELOPPEMENT CHORÉGRAPHIQUE NATIONAL TOULOUSE

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact LA RONDEInstallation vidéo de DENIS DARZACQDu 15 avril au 20 avril, 2018Installation vidéo coproduite par CENTRE DE DÉVELOPPEMENT CHORÉGRAPHIQUE NATIONAL TOULOUSE – OCCITANIE Dans cette installation vidéo, la magie d’un accord d’ensemble surgit au cœur du chaos engendré par huit chorégraphies différentes. Soit huit écrans disposés en cercle, sur lesquels huit interprètes exécutent une chorégraphie différente. Ces séries de mouvements, isolées dans les cadres fermés de leurs cellules d’images, composent le chaos vertigineux d’une réalité qui ressemble à la nôtre, dans la rue, au supermarché, dans une tour d’habitation. Quand soudain un accord se fait. Dans la magie éphémère d’un instant les corps interprètent les mêmes figures, chacun à sa façon et pourtant tous ensemble. Puis peu à peu ils reprennent le cours divergent de leurs mouvements. Dans l’installation vidéo La Ronde, le photographe de Denis Darzacq, connu pour ses images sur les jeunes des quartiers et les personnes en situation de handicap mental, et le chorégraphe Thierry Thieû Niang, habitué du travail avec des non-professionnels, propagent la danse de Florian Caron, danseur de la compagnie l’Oiseau-Mouche, dans un unisson possible malgré les écarts et les solitudes.

Le Bel aujourd’hui

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Si Mallarmé échoue ici l’agonie d’un cygne quand l’oeil rencontre chaque mot, Darzacq lui, éprouve le bel aujourd’hui. Le photographe secrètement marionnettiste étire les corps, les manipules, et finalement les dépose, pour mieux en libérer le souffle. Là où la lumière souligne, la forme surgit comme extraite, sans contrainte puis libre. Hantée par le temps comme pris par les glaces , l’image elle, ne se délivre plus. Les chutes sont silencieuses. Emmanuel Berry, 2017#Hyper, La Chute, Act 1, Act 2, Doublemix Le vierge, le vivace et le bel aujourd’hui. Va-t-il nous déchirer avec un coup d’aile ivreCe lac dur oublié que hante sous le givreLe transparent glacier des vols qui n’ont pas fui ! Un cygne d’autrefois se souvient que c’est luiMagnifique mais qui sans espoir se délivrePour n’avoir pas chanté la région où vivreQuand du stérile hiver a resplendi l’ennui. Tout son col secouera cette blanche agoniePar l’espace infligée à l’oiseau qui le nie,Mais non l’horreur du sol où le plumage est pris. Fantôme qu’à ce lieu son pur éclat assigne,Il s’immobilise au songe froid de méprisQue vêt parmi l’exil inutile le Cygne. Mallarmé

Krakow Photomonth Festival

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Krakow Photomonth Festival, 2017 For La Chute [The Fall], Denis Darzacq uses a photographic technique that contrasts two possible realities without the application of digital manipulations. On the one hand, the backdrop of the city with its generic and soulless architecture, and on the other, the honesty and power of these bodies in action, which refuse to submit or be silenced. The models are young people of the urban areas of the city, who Darzacq compares to “knights of modern times” who “know how to combine work and discipline, and to defy the laws of gravity and weightlessness”. Denis Darzacq. La Chute

Comme un seul Homme – Beaux Arts Ajaccio 2016

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Du Samedi 17 Décembre 2016 au Dimanche 30 Avril 2017Palais Fesch Comme un seul homme est un projet à la fois visuel, historique et littéraire associant un film vidéo à une série photographique. Le film Comme un seul homme, réalisé à partir d’un texte écrit par Fabrice Rozié, donne à entendre un texte écrit à partir de lettres inédites de soldats français, anglais et allemands, dans la bouche de jeunes d’aujourd’hui en visite sur les lieux de mémoire de la Grande Guerre. Des photographies de paysages et des portraits d’arbres conçus comme des incarnations possibles des soldats disparus accompagnent le film vidéo. Une façon de rendre hommage aux milliers de combattants inconnus toujours ensevelis sous ces champs de batailles. #Comme un seul Homme

Lianzhou Festival 2016

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Lianzhoufoto 2016As Entertaining As Possible 19 novembre, 2016 – 09 décembre, 2016 #Hyper

InsideUp – Shanghai Hongqiao International airport 2016

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Curator: Ludovic De Vita / Wang Lingyun 王凌云 Dans le cadre de Photo Shanghai 2016, en partenariat avec l’ambassade de France en Chine et du consulat général de France à Shanghai, l’aéroport international de Shanghai Hongqiao est heureux de proposer l’exposition InsideUp présentant les œuvres de l’artiste photographe français Denis Darzacq. Programmée pour 2 mois, du 28 août au 6 novembre 2016 à l’Art Experience Center, l’exposition réunit une quarantaine de photographies permettant au public de l’aéroport d’apprécier le travail de l’artiste réalisé à Paris. Collectionné par le Centre Pompidou, la Maison Européenne de la Photographie…, soutenu par les institutions françaises, exposé internationalement, Denis Darzacq a su depuis 20 ans développer une proposition artistique exigeante où la question du sens d’une image est posée, et ou le rapport de la photographie avec son sujet se rejoue à chacune des séries qu’il développe. Ici avec « La Chute » présentée intégralement pour la première fois en Chine dans l’exposition InsideUp, et ayant reçu le 1er prix du World Press Photo 2007, Denis Darzacq nous offre une mise en scène où les rues, les quartiers populaires, l’environnement urbains de Paris se dévoilent en arrière-plan de jeunes parisiens qui semblent suspendus dans le temps et l’espace. Libres enfin de la gravité, dans un espoir qu’on voudrait qu’il ne retombe jamais, Denis Darzacq parvient à nous donner l’image juste de cette jeunesse indécise qui possède une énergie créatrice profonde et qu’il synthétise dans un saut, une chute ou bien juste un instant infini d’une pure poésie contemporaine. Organisation  :InsideUp Exhibition est co-organisée par : Shanghai Zang Ku Cultural Creative Investment Ltd. ON/gallery Beijing Partenaires  : Co-existences Lulo-design International Co, ltd Partenaires institutionnels  : Ambassade de France en Chine Institut Français de Pékin Consulat général de France à Shanghai Faguowenhua

Landskrona Foto Festival 2016

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact LANDSKRONA FOTO FESTIVAL 19 – 28 août 2016 Le Landskrona Foto Festival 2016, qui se tiendra du 19 au 28 août prochain, sera l’hôte pendant dix jours de nombreuses expositions photographiques, de présentations de livres-photos, de séminaires, de lectures de portfolios, de débats d’artistes et plus encore. Fondée en 1413, la ville de Landskrona se situe en Suède, sur la côte de Skåne, entre Malmö et Helsingborg et à l’opposé de Copenhague. Le festival se déroulera pour sa quatrième édition sous la nouvelle direction artistique de Christian Caujolle et Jenny Nordquist. #La Chute, Hyper

Expo Doublemix De Soto 2016

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Denis Darzacq & Anna Lüneman : Doublemix – DE SOTO GALLERY – 21 mai – 23 juillet, 2016

Doublemix – Expochicago – Laurence Miller Gallery 2015

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Expo Chicago 2015, du 17 au 20 septembre, stand 400 – Laurence Miller Gallery New York.#Doublemix http://www.laurencemillergallery.com/art-fairs/expo-chicago?view=slider#20

Doublemix – Laurence Miller, NYC

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Double Mix is a collaboration between two French artists, photographer Denis Darzacq and mixed media artist Anna Iris Lüneman. In this body of work Darzacq’s allusive photography of banal subjects is disrupted by Lüneman’s visceral ceramic abstractions which are literally imbedded in the framed photographs. By grafting these disparate modes together a disorienting play between image and object occurs. These adventurous hybrid works carve out a unique territory between photography and sculpture. The show will showcase this collaboration as well as recent solo work by each artist in media ranging from photography, ceramics, and painting. #Doublemix

Act & Comme un seul homme – MEP, Paris

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Act & Comme Un Seul Hommedu 15/04/2015 au 14/06/2015àLa Maison Européenne de la Photographie, Paris M Le magazine du Monde, PDF

FACES NOW – Bozar Bruxelles

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Faces Now, Bozar Bruxelles Portraits photographiques européens depuis 1990 L’apparition de la photographie a généralisé la pratique du portrait. Dans les années nonante, les photographes ont redécouvert le genre du portrait. Depuis la chute du mur de Berlin, ils s’interrogent sur l’identité et la place de l’individu dans le monde numérique et globalisé. Que nous apprennent l’expression du visage, la pose, les vêtements et le cadre sur la personne photographiée ? FACES NOW vous fera découvrir les œuvres  réalisées en Europe par 31 photographes réputés, parmi lesquels Tina Barney, Anton Corbijn et Stephan Vanfleteren. Commissaire : Frits GierstbergDE VOLKSKRANT DINSDAG 3 MAART 2015, PDF #Casques de Thouars

Sculpture – Galerie RX, 2014

Denis Darzacq Menu Actualités Œuvres À Propos Livres Contact Denis Darzacq, Sculpture, à la galerie RX, Paris, du 15 janvier au 22 février 2014 #Recomposition 1, Hyper